30 sept. 2008

La Contagion de la crise Américaine sur les marchés Européens.

Après la tempête de crise financière qui s’est abattue et qui continue encore de frapper l’économie américaine, c’est au tour des Banques européennes de payer au prix fort les conséquences de la spéculation que subit le monde de la finance. En ce moment de grande panique sur les marchés, tous les indicateurs financiers des bourses européennes sont en baisses et les banques se retrouvent dans le collimateur. La banque belgo-hollandaise Fortis a été la première à donner l’alerte et c’est toute l’Europe qui se dépêche pour venir à la rescousse et de réfléchir à son tour sur l’aide à apporter et les mesures à adopter. Une collecte de près de 6,4milliards entre la France , la Belgique et le Luxembourg a été décidée ce matin d’un accord avec les principaux gouvernements afin de porter secours à la banque Dexia ,la deuxième structure européenne à être entrainé dans cette décadence après celle ce weekend de la Banque Fortis.De graves conséquences dans les états de l’Union pourraient être à déplorer si les responsables ne font rien au plus vite et qui risqueraient même de toucher « les usagers des banques »qui, depuis ce matin s’inquiètent de plus en plus pour leurs épargnes, malgré les multiples tentations du gouvernement et de certains économistes à rassurer.
Le Gouverneur de la Banque France Christain Noyer affirmait toujours dans le soucis de rassurer que«le système financier français est un des plus sûrs du monde. Il faut avoir une confiance totale dans la sécurité du système bancaire français Il faut garder la tête froide. Il n'y a pas de raison du tout d'avoir peur».Mais les effets liés à cette récession que pourraient être le chômage due à une baisse d’activité, la crise de l’immobilier causée par un éventuel gèle des accords de crédits aux particuliers désireux de « faire dans le bâtiment »par exemple,ou encore le retrait possible des fonds par les épargnants;ce qui porterait un coup fatal pour la Caisse des Dépôts et Consignations, grand appui de l’Etat en cas d’injection de fond ,nécessaire et indispensable pour la régulation du circuit économique. Bref ! Le secrétaire d'État à l'emploi Laurent Wauquiez a déjà reconnu pour sa part,qu’avec tous ces indices, qu’il s’attend à des chiffres de chômage «mauvais pour un an».Maintenant que l'on sait que le plan de soutien « plan Paulson »a été rejeté par le congrès américain (dont2/3des républicains ont votés contre), que Les bourses de Hong Kong et de Bombay affichent elles aussi des chiffres en décroissance, cette crise étant désormais planétaire, voyons voir , les répercussions qu’elle pourrait causer au continent Africain pour qui l’Europe reste jusque-là ,et malgré l’avancée Chinoise,son premier partenaire extérieur d’échange et qui se voit toucher de plein fouet.

27 sept. 2008

Le face à face Obama-McCaïn

La rencontre entre les deux candidats à la maison blanche a finalement eu lieu en temps et en heure comme on l'espérait.Nos deux candidats ont tenté de convaincre l'électorat et les questions comme on pouvait tous s'y attendre, ont porté sur la politique étrangère et l'économie.La presse française affiche "un nul " entre les deux candidats depuis ce matin, tandis qu'outre atlantique, chaque camp affirme avoir gagné le débat.Quoi de plus normal !Mais à lire les récents sondages, on l'impression que Barack Obama aurait eu une légère avance sur son rival et est donné victorieux.Il aurait selon un échantillon interrogé, été celui des deux a avoir rassuré le plus.
En attendant, les prochains débats du 7 et 15 Octobre avant les élections prévus le 04Novembre , les colistiers de chaque candidat pourront à leur tour faire leur partition le jeudi prochain.Un bref de la nuit d'hier avec ce qui suit:






Pour revisualiser le débat Obama-Mc Caïn cliquez ici

26 sept. 2008

Campagne électorale et crise financière aux Etats-Unis

La crise financière qui touche actuellement les États-Unis ne finit pas d'inquiéter le monde de la finance et de peser lourd dans la campagne présidentielle.Nos deux candidats à la maison blanche qui s'était réunis hier autour d'une table ronde en compagnie de Georges Bush et de personnalités influentes du congrès, n'ont pas réussis pour l'heure à trouver un accord sur ce pour quoi la réunion s'était tenue.Il s'agissait de trouver une solution pour un plan de sauvetage à cette crise de subprimes et qui selon les dires du président Bush risquerait de mettre fort en danger l'économie américaine.700 milliards de dollars devraient être injecter par l'état dans le système afin de "sauver les meubles".Mais le candidat républicain John Mc Caïn trouve le montant trop élever et selon lui , cette mesure risquerait de faire porter la facture auprès du contribuable américain.Lui qui il y a quelques temps affirmait « les fondamentaux de l'économie sont forts » se sent obliger d'interrompre sa campagne le temps de réfléchir à une proposition économique avait-il déclaré mercredi dernier.Quant au candidat démocrate, Barack Obama, à qui la situation profite, est plutôt pour l'intervention de la puissance public dans le financement de l'aide aux familles des "sinistrés" de cette crise et d'ajouter:« on ne peut pas avoir un plan seulement pour Wall Street. On doit aussi aider l'homme de la rue ».Comme quoi la protection du peuple américain ne passe pas uniquement par la sécurité dont se targue John Mc Caïn pour son expérience militaire, mais aussi par une politique économique qui devrait aider à l'amélioration du pouvoir d'achat.
Aujourd'hui devra se tenir le légendaire débat des candidats à la maison blanche où chacun pourra expliquer point par point aux peuples américains sont futur programme pour les quatre années à venir.Une occasion en or pour Obama, avec la crise qui semble lui tourner le vent en sa direction.le républicain qui avait proposé le report de ce face à face, s'est vu opposé le refus d'Obama qui a tenu à ce que la rencontre est lieu.Espérons que le candidat républicain sera au rendez-vous.

22 sept. 2008

A propos du retard du continent Africain

















Beaucoup de causes sont liées au retard qu'a pris le continent Africain après les indépendances et nous sommes pour le coup bien loin des résultats espérés  près d'un demi-siècle après. J'ai donc décidé sur  ce post  d'évoquer certains points qui à mon sens sont  essentiels et primordiaux et qui pourraient  justifier  pourquoi nous en sommes là. Bien entendu ces raisons sont loin d'être les seules causes du retard accusé dans  notre développement mais il met le doigt sur ces notions trop souvent dissociées des  questions liées au difficultés profondes que connaît ce continent . Dans un premier temps:

Séparons le politique du religieux:

Face aux nombreuses difficultés que rencontrent nos populations ,et l'extrême pauvreté qui sévit dans la plupart de nos pays du continent noir, pour cause de mauvaise gérance, la foi religieuse peut encore susciter de l'espoir.Les gens s'y donnent à fond quitte à y passer tout leur temps dans ces lieux de prières pour invoquer la puissance divine et y trouver de quoi mettre fin à leurs souffrances.

Mais la providence,en tout cas pour ce qui est du développement de l’Afrique, ne nous viendra pas du ciel. Loin de nous l’idée d’éloigner les uns et les autres de leur foi religieuse, mais nous essayons de dire que l’inséparabilité de l’homme avec sa société étant un fait éprouvé depuis la nuit des temps, c'est à l'Etat de tout mettre en œuvre afin de réduire les inégalités et de lutter contre la pauvreté. La politique est donc un propre à l’homme et elle seule déterminera les grandes orientations et la direction qu’un peuple souhaiterait prendre pour améliorer sa condition. Par conséquent, le rôle du religieux qui avant tout relève de la sphère privée n'est en aucune manière celui de régler les problèmes d'ordre politique.

Pas de développement sans État de droit:

Ainsi dans ces pays où une bonne partie de la population est encore analphabète, (plus de 50% parfois pour certains), l’on est encore en reste quant au niveau de développement et de démocratie de ces États .Le développement est à la traine depuis les années d'indépendances et aucune grande réforme institutionnelle n'a été faite depuis.
 
Il est presque banal de rappeler aux africains que aucun développement ne se fera sans réel démocratie et qu’aucune démocratie n'est envisageable sans la moindre stabilité politique. Pour ce faire,l'instauration d'un Etat de droit où les lois de la république seront respectées et non bafouées comme çà toujours été le cas jusqu'à présent est plus qu'urgente.
Le développement, la culture et l'identité

Le développement est affaire culturelle.il ne s'agit pas ici de demander aux africains de se détourner totalement de leurs cultures pour intégralement embrasser celle des états développés, mais plutôt de faire au sein même de leurs cultures un tri rigoureux qui leur permettra d'extorquer les éléments culturels qui favoriseront le plus tôt possible leur mutation et de ne pas hésiter à mettre à l'abandon ceux qui la retiennent malheureusement vers le bas, c'est à dire dans le sous-développement..Ne croyons surtout pas qu’il s’agirait d’une « acculturation »de l'homme noir , mais plutôt celle d’une acceptation de « l’identité nouvelle » qui est la notre bien qu'on refuse à l'admettre.c'est-à-dire des « métis culturels » pour reprendre l’expression de Senghor .

Cette question "d'identité africaine" qui a été abordée pendant longtemps et dont beaucoup ont toujours tenu à revendiquer leur identité et à la déterminer avec exactitude se retrouve aujourd'hui entre deux chaises.Pour certains il faut rester "authentiquement Africain" avec nos modes de pensées , d'actions, voir même de retour pour les plus radicaux à la tradition de nos ancêtres qui serait la seule voie capable de nous redonner "confiance et estime de soi"..Pour d'autres, nous devons regarder de l'avant en adoptant la vision universaliste dans son ensemble pour tendre vers une "modernité occidentale."

Mais nous savons tous que l'identité n'est jamais une constante et qu'elle change au gré des aléas et des rencontres avec le monde extérieur et que par conséquent elle ne peut prétendre à une fixation dans le temps.

Nous pensons que toutes les sociétés, ont en leur sein, des valeurs et des techniques qu’elles ont dues, pour leur survie, emprunter aux autres. Cela n’est en rien dégradant ,ni humiliant encore moins la preuve d’une infériorité quelconque ; d’autant plus que l’évolution de la civilisation n’est rien d’autres qu’une succession d’emprunt, de copie, de plagiat, d’amélioration et de mimétisme des sociétés humaines entre elles. C’est la sociologie qui le démontre.En revanche, en dépit de l’apport extérieur à l’égard duquel une société peut faire preuve d’ouverture , elle se méfie toujours à ne pas se laisser engloutir totalement, veillant ainsi soit par peur ou soit par soucis identitaire, à préserver ses propres rites, coutumes et traditions. Cette réserve traduit , une vieille problématique qui survient depuis que le monde existe entre les sociétés humaines,et qui rend parfois difficile le pont entre tradition et modernité. A ce jour, nous pouvons affirmer de manière univoque que cette problématique serait comme tant d’autres, une des raisons de l’explication du retard du continent Africain. 

L’Afrique à mon avis serait toujours en quête d’identité. L’esclavage et la colonisation n’ayant pas arrangé les choses pèsent indéniablement encore dans la conscience collective des Africains. Une sorte de traumatisme qui l’empêcherait de voir au-delà des humiliations subies et de se projeter dans un avenir prometteur créant alors un complexe.Et c'est justement cela qu'il convient de casser à coup de marteau et déconstruire l' idée qui tente de faire du continent Noir celui de tous les malheurs.Disons non à la fatalité car elle n'existe pas,si on veut relever le défi.

16 sept. 2008

La viste du pape Benoit XVI : entre laicité et liturgie














La visite du pape benoit XVI en France du 12 au 15 septembre a commencé bien avant son arrivée à susciter l’engouement de tout l’espace public. Le successeur de Jean Paul II pour sa première visite en France après son intronisation, a été reçu en grande pompe par le chef de l’État, Nicolas Sarkozy avec une sécurité exceptionnelle.

Le pape qui est aussi Chef d’état du Vatican, à son arrivée sur le sol français, a prononcé ceci:"j'aime la France, la grande culture française , l'art français". On voit bien comment le Très saint Père qui s'est exprimé dans un français parfaitement maitrisé apprécie le pays dont il avait lui-même reçu le président l'an dernier.

Mais disons aussi que sa visite n'a pas seulement enthousiasmé les pratiquants de la foi catholique , elle a aussi été sujet à polémique dans la sphère public . Le discours tenu par le président Sarkozy à Latran, le 20décembre 2007 lors de sa visite à Rome où il affirmait son concept de "laïcité positive" soutenant dans ses lignes que la "laïcité n'a pas le pouvoir de couper la France de ses racines chrétiennes"". Il avait aussi souhaité que la République s'enrichisse d'une "réflexion morale inspirée de convictions religieuses" ayant "des liens avec la transcendance. Tout ses propos n'ont pas été oubliés par les défenseurs de la laïcité en France qui cette fois l'attendait de pied ferme.

L'opinion s'était barricadée contre ses propos jugés incompatibles avec sa fonction de président de la république qui ne lui donnait aucun droit de dire de quel spiritualité ou non devrait "s'abreuver" le peuple;surtout quand :"Dans la transmission des valeurs et de l'apprentissage entre le bien et le mal, avait-il ajouté, jamais l'instituteur ne pourra remplacer le curé ou le pasteur.

Neuf mois plus tard, le président Sarkozy, pendant son discours d'accueil à Benoit XVI le 12Septembre dernier, a tenu a joué la prudence dans son rapport entre foi et religion, et à quand même tenu à s'expliquer sur cette "laïcité positive" dont il continue à défendre l'idée.Selon lui, ce serait un "appel au dialogue entre les religions et mieux, un ménage entre elles et la république.

Le Pape quant à lui, avait utilisé le vocable de "saine laïcité" qui rejoint celui du président français.Il a insisté lors de son allocution à saluer " le rôle joué par la France dans le monde et dans l'église pour l'évangile"avant de rappeler" le rôle civilisateur de l'église dans le monde". Il a aussi tenu à rassurer que le principe de séparation des pouvoirs entre ceux de l'église et de l'état est un fait admis par l'église et qu'en aucun cas cela devait être transcender.Il affirma que "la foi n'est pas politique et la politique n'est pas une religion "Un façon de montrer que chaque domaine à ses compétences même s'ils se rejoignent sur bien des points.Sauf qu'il milite pour que l'église ait un rôle un peu plus apprécié dans la transmission des valeurs au sein de la république.

La visite du Très Saint Père s'est déroulé sans le moindre incident. Après les cérémonies d'accueil à l’Élysée, il s'est rendu samedi 13 aux invalides où une messe a été célébrée avant de se rendre le lendemain à Lourdes. Mais pour comprendre la laïcité à la française, principe régie par la loi de 1905 sur la séparation des pouvoirs qui induit de cet fait la neutralité de la république, il faut se lever de bonne heure.(Récemment ce concept était mis en cause dans le cas d'un jeune qui demandait le report de son jugement pour cause lié au ramadan). Plusieurs études lui ont été consacrées mais il reste en lui même difficile à appliquer au regard des différents cas que rencontrent les concitoyens face à la justice ou encore à l'administration.

Espérons que la laïcité qui est par essence positive trouvera en France sa vraie place entre traditions philosophiques et traditions religieuses.

11 sept. 2008

"les principes sont comme un tissu tissé serré avec exactitude,consistance, beauté et résistance, fait de tous les fils de la vie.

William Shakespeare

9 sept. 2008

Ville cruelle de Mongo Beti

J'ai décidé de vous parler un peu de ce qui a été le premier roman de Mongo Beti qu'on ne présente plus. Alexandre Biyidi-Awala, de son vrai nom, écrivain camerounais a été un intellectuel Africain engagé.Cet homme à la critique virulente et à la plume sévère n'a pas épargné plus d'un. Aussi bien du côté du colonisateur que du colonisé.On peut donc lui reconnaitre son impartialité en plus de son intrépidité."un esprit libre" comme on dit.

Dans "ville cruelle" qu'il écrivit au temps de la colonisation, publié en 1954 sous le pseudonyme d'Eza Boto, l'auteur retrace ici, à travers la vie d'un jeune homme, Banda, la situation qui prédominait en ces temps, et la condition des autochtones face à l'administration coloniale.Avec un certain style propre , le jeune auteur d'alors qu'il était, laisse son lecteur en suspend.Population dominée, humiliée et complexée, tout est présent dans ce livre avec une façon de montrer les abus de ce système colonialiste.On pourrait lire dans les lignes de ce roman, l'expression "grecs "qu'il assimile aux colons et qu'il se résigne tant bien que mal à désigner par le terme couramment utilisé;c'est à dire: celui de"blanc".Mais il est des romans tellement bien écrits, dont seuls les intrigues, et les péripéties, suffisent à faire partager une situation difficile à saisir. Pour nous jeunes qui n'avons pas connu ces périodes d'avant-les indépendances, on peut donc dire qu'avec ce roman, on a été bien servi.
Ce livre attention, est truffé de questionnaires dont l'auteur vous laisse le soin d'y répondre. vous en avez presque à chaque page et souvent ils se succèdent les uns derrière les autres.il y mêle récit et discours de manière très habile avec des passages qui laisserons pantois tant la "vérité" sur cette période est à nue.

En tout cas ce roman est un vrai régal.Bon j'en dis un peu trop peut être, mais une chose est sûr: c'est qu'il a eu raison de l'écrire sous un faux nom. çà craignait l'époque! Et la prudence était de mise!

j'espère vous avoir donné l'envie de lire ou de relire ce magnifique roman dont j'en suis sûr vous rapprochera de la réalité actuelle.Merci en vous souhaitant très bonne lecture.

Cheick Anta Diop: Nations Nègres et Cultures.

Cet essai, particulièrement saisissant, capte l’attention de son lecteur dès les premières pages.

Le professeur Cheick ANTA Diop dans cet ouvrage de référence qui demeure depuis sa parution
en1954 comme un classique de l’histoire des civilisations Africaines , nous livre une grande période de l’Afrique et même je dirais de l’humanité tout entière que certains se sont amusés à occulter. Il décortique avec aisance et rigueur les différentes étapes de la formation de la Civilisation Egyptienne, de son origine lié à l’Ethiopie et de son apport à l’histoire de l’humanité.
Par cet essai, l’origine Nègres des anciens Égyptiens « kamites » est mis en évidence par des preuves de faits et de témoignages , ce qui d’une certaine manière participe à la réhabilitation de l’homme Noir dans son histoire et tout simplement de corriger ce qui longtemps avait été intellectuellement « confisqué » par beaucoup d'historiens. La formation des Ethnies et des langues en Afrique Subsaharienne y est abordée, et selon l’historien,toute cette diversité auraient pris racines dans la langue pharaonique en tout cas pour beaucoup d’entre elles.
Ce livre est un véritable chef d’œuvre. C’est « une révélation » qui n’a pas manqué de bouleverser le milieu des intellectuels. Depuis, bon nombre de ceux-ci se sont joints à sa thèse et continuent encore aujourd'hui non sans peine, à faire connaître ses découvertes et à diffuser son enseignement. Hélas ! encore aujourd’hui la difficulté pour une minorité d’historien obstiné à ne pas se résigner dans leur refus de pas croire, se fait encore sentir.
Pour ceux qui aimeraient en savoir d’avantage sur l’histoire du continent Africain, et de comprendre son état actuel des choses, un voyage dans le passé pourrait être un bon début avec ce livre que je crois, est un bon guide pour se retrouver.

Bonne lecture ou relecture à tous ; et d’ici là, prenez soin de vous